martes, 3 de enero de 2017

               OLYMPE DE GOUGES

Marie Gouze, dite Olympe de Gouges, née à Montauban le 7 mai 1748 et morte guillotinée à paris le 3 novembre 1793, est une femme de letres française, devenue femme politique. Elle est considérée comme une des pionnières du fémisnisme français. Auteur de la déclarations de droits la femme et de la cituayanne, elle a laissé de nombreux écrits en faveur des droits civils et politiques des femmes et de l’abolition de l'esclavage des noirsElle est souvent prise pour emblème par les mouvements pour la libération des femmes. 
En 1788, le Journal général de France publia deux brochures politiques d’Olympe de Gouges, dont son projet d’impôt patriotique développé dans sa célèbre Lettre au Peuple. Dans sa seconde brochure, les Remarques patriotiques, par l’auteur de la Lettre au Peuple, elle développait un vaste programme de réformes sociales et sociétales. Ces écrits furent suivis de nouvelles brochures qu’elle adressait épisodiquement aux représentants des trois premières législatures de la Révolution, aux Clubs patriotiques et à diverses personnalités dont mirabeu, La Fayette et Necker qu’elle admirait particulièrement. Ses propositions étaient proches de celles des hôtes d'anne-catherine Hélveius, qui tenait un salon littéraire à Auteuil, et où l’on défendait le principe d’une monrchie constitutionelle. En 1790, elle s'installa elle-même à Auteuil, rue du Buis et y demeura jusqu'en 1793. En relation avec le marquis de Condorcet son épouse née sophie de Grouchy, elle rejoignit les Girondis en 1792. Elle fréquentait les Talma, le marquis de Villette et son épouse, également Louis-Sébastien Mercier et Michel de Cubières, secrétaire général de la Commune après le 10 août, qui vivait avec la comtesse de Beauharnais, auteur dramatique et femme d’esprit qui tenait un salon très intéressant rue de Tournon. Avec eux, elle devint républicaine comme beaucoup de membres de la société d’Auteuil qui pratiquement tous s’opposèrent à la mort de Louis XVI. Le 16 décembre 1792, Olympe de Gouges se proposa d'assister Malesherbes dans la défense du roi devant la Convention, mais sa demande fut rejetée avec mépris.

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